Au cours des dernières années, et notamment grâce à nos amis américains, on a beaucoup parlé de la hustle culture, cette façon de travailler où on fait beaucoup d'heures, beaucoup de volume pour obtenir des résultats.
Et honnêtement, pendant une période, j'y ai adhéré.
J'avais l'impression que c'était la bonne façon de faire.
Se dire : je travaille beaucoup aujourd'hui pour pouvoir me reposer plus tard.
Je pense qu'il y a une part de vrai et une part de quelque chose qui dépend de chacun.
Déjà, il faut être honnête.
Quand je bosse plus de 2-3 heures d'affilée, je commence à produire des résultats un peu pourris.
J'ai pas une capacité de concentration illimitée, loin de là.
Et puis, je tire aussi de l'énergie des activités que je fais pour me ressourcer : lire, faire du sport, je sais pas quoi.
Et j'ai l'impression aussi que ceux qui prônent la hustle culture, ils ont beaucoup d'argent.
Ils investissent dans des choses qui enlèvent les distractions.
Par exemple :
- Ils font livrer toute leur bouffe.
- Ils ont des gens qui vont chercher les enfants à l'école.
- Etc...
Mais en tout cas, c'est pas forcément pour tout le monde.
Après, il y en a aussi qui charbonnent dans leur garage avec peu de moyens et j'ai pas de jugement là-dessus.
C'est clair qu'il y a de belles success stories qui ont commencé dans un garage.
Mais maintenant, avec l'IA...
En vrai, je trouve que c'est un peu la fin de la hustle culture.
Avant, on devait travailler davantage pour augmenter notre rendement.
On devait scaler avec l'humain et le capital.
Maintenant, avec l'IA, on peut augmenter l'input sans mettre plus de temps.
Du coup, finalement, on confie le job de hustle, c'est-à-dire de travailler jour et nuit comme des chiens, à des agents autonomes.
Et ça peut être, je pense, le futur du scaling et du business.
Si tu veux commencer à déléguer une partie de ta charge de travail à l'IA, mon programme Orchestrateurs IA est un bon point de départ.
Réponds "Hustle" à ce mail, et je t'envoie les infos.
Cheers,
EM