À propos de moi

Si vous êtes ici, c'est que vous voulez en savoir plus sur moi. Je vous propose trois formats pour me découvrir :

Bonne lecture et merci d'être là !

Moi en 10 secondes ?

Ce sera plutôt en 10 bullet points.

Ultra-curieux, je me passionne pour tout et n'importe quoi, tout le temps. Pour moi, passion rime avec obsession.
Lecteur avide : beaucoup de non-fiction, de fantasy et de SF. J'écris aussi de la SF à mes heures perdues.
Ex-futur dev, j'ai abandonné Epitech en cours de route. J'ai aussi été recruteur pendant un temps.
J'accord zéro valeur aux diplômes. Je valorise plutôt la libre pensée et les capacités d'apprentissage.
J'ai construit le support technique de Shadow et dirigé des équipes dans plusieurs startups du Next 40 et Tech 120.
J'investis beaucoup en bourse, un peu en crypto. Sur le long terme uniquement.
Je jongle avec beaucoup de projets. Mes phases divergentes sont riches, fréquentes et souvent assez longues.
J'adore rencontre des personnes atypiques et avoir des discussions profondes.
J'aime beaucoup coacher. Et plus généralement, résoudre des problèmes.
Le storytelling est important pour moi : dans les films, les jeux vidéo, les contenus en ligne.

Moi en 10 minutes ?

Voici mon parcours condensé, présenté chronologiquement. Cela vous donnera sans doute un aperçu de ma façon de fonctionner.

Enfance

Je suis né à Séoul, en Corée du Sud le 2 novembre 1991. J'ai été adopté par des parents français et j'ai grandi à Verrières-le-Buisson, dans un joli pavillon près du bois de Verrières. On a ensuite déménagé à Antony, où j'ai passé le plus claire de mon enfance, et jusqu'à mon départ du cocon familial.

Les challenges ont commencé au CP. J'ai sauté cette classe et étant de fin d'année, je me suis retrouvé avec deux ans de moins que tous mes camarades. Ça a été dur pour moi de tisser du lien et je me suis rapidement retrouvé isolé, en plus de connaître harcèlement scolaire et racisme.

Je me suis désintéressé de l'école malgré mes facilités et n'ai donc pas développé mon intelligence émotionnelle avant ma vie adulte.

Adolescence

À partir du collège, je commence à me déscolariser. Je sèche les cours pour lire, apprendre à créer mes premiers sites web. Je passe beaucoup (trop) de temps sur les jeux en ligne, où j'atteins le sommet du classement à plusieurs reprises.

Je fais renvoyer de plusieurs établissements, pars faire une année d'internet (où je connais une fois de plus le harcèlement scolaire) et finis par décrocher un Bac L avec 74 points au rattrapage.

Errance

Au début de ma vie d'adulte, je n'ai aucune idée de quoi faire dans ma vie. Je lis de moins en moins, et je commence à consommer beaucoup d'alcool - problème qui me suivra pendant une décennie. J'essaye plusieurs formations, sans succès. J'ai quelques petits boulots, mais ça ne dure jamais longtemps.

Epitech

Je trouve un premier regain d'intérêt en intégrant Epitech en 2014. La pédagogie par projet (peu de cours, beaucoup de projets) me convient bien. On peut bosser quand on veut, même la nuit. C'est immersif, intense et ça déclenche chez moi cette envie oubliée de résoudre des problèmes complexes.

Je fais quelques stages très chouettes, j'apprends un vrai métier et je valide mes deux premières années sans difficulté.

Mais en début de troisième année, je décroche un job temporaire : on me propose d'assurer le SAV pour une startup française qui se lance en décembre 2016...

Shadow

La startup, c'est Shadow. Elle fait un PC dans le cloud. Tout va très vite : je fais du SAV pendant deux semaines. Je bosse 3x les heures prévues. J'envoie des reporting quotidiens au CEO. Je m'installe un lit dans les bureaux, je fais mon linge dans la baignoire.

Je reste en freelance, puis en stage, puis en CDI. Je prends le lead de l'équipe de 3 personnes, et recrute davantage. L'équipe finira par atteindre les 40 personnes et par couvrir 4 pays et 3 langues. J'aurais doublé mon salaire deux fois, siégé au COMEX, lancé tout un tas de projet d'envergure.

J'ai eu 0% de turnover en trois ans. J'ai coaché plusieurs employés, dont certains sans diplômes jusqu'à de très belles promotions internes. Certains sont aujourd'hui parmi les personnes les plus successful que je connaisse.

Chez Shadow, j'ai appris le leadership, les softskills, la passion. J'ai appris à rêver grand. Et c'était surtout une belle aventure humaine. J'y serai resté trois ans. L'an dernier, 5 ans après, avec une quizaine des anciens de l'équipe, on s'est tous retrouvés pour un pique-nique. Ça restera toujours une grande famille.

J'enchaîne !

Après Shadow, j'enchaîne. Je bosse dans le recrutement Tech pendant un an pour convertir cet aspect du job de management qui m'a bien plu chez Shadow. Ça m'apprend à cold-call, à closer, à mieux comprendre les gens.

Je passe 1 an chez Molotov TV, où j'ai à gérer de grosses migrations, la marque entreprise, les réseaux sociaux. Et des problèmes RH.

Puis 1 an chez Alan, où je bosse en tant que Lead dans le Customer Care avec de grosses problématiques data et business. Je travaille d'ailleurs aussi sur des problématiques URSSAF (on connaît tous...).

Enfin, 1 an chez DJUST, où je bosse sur le support technique encore une fois, mais plutôt B2B avec de grands comptes (Franprix, Monoprix, Veja, etc.) et sur l'automatisation au maximum des process.

Mais entretemps au fait...

J'ai une petite fille de 4 ans

Emilia est née en août 2020 et ça a bien sûr chamboulé mon existence. Bien sûr pour avoir un enfant, il faut une compagne - Stéphanie, que j'ai rencontré chez Shadow.

On met du temps à trouver de bons systèmes, de tous points de vue :

Communication
Budget
S'occuper de notre fille
L'éducation
Etc.

Il nous faudra 3 ans pour être bien dans notre couple et dans notre vie familiale. Entretemps, j'arrête totalement l'alcool. Je mange mieux, je dors mieux, je reprends le sport.

En juin 2023, je commence à courir. J'ai depuis couru plusieurs 10K, semi-marathons et un marathon est à venir.

Et maintenant ?

Je quitte mon CDI chez DJUST en octobre 2024. Eliott cherche un bras droit pour gérer la partie opérationnelle de son business pile à ce moment là. On s'appelle immédiatement, la vibe est incroyable et on commence à bosser ensemble sur le champ.

Je me remets à créer du contenu depuis quelques mois également. Je voyage davantage, je lis beaucoup, je passe pas mal de temps avec ma fille.

Plus d'infos ici :

Moi en 10 heures ?

Faut pas déconner, vous avez mieux à faire. Mais si vous êtes arrivé jusque là, c'est peut-être le signe qu'il faut qu'on se prenne un café virtuel.

C'est gratuit, fun et qui sait où ça peut mener !